Trouver le grand-père du Tesla Powerwall a été un voyage difficile pour le Bolt EAV

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Au cours du week-end, je me suis lancé dans une aventure assez folle dans ma Bolt EUV, que j'appelle la « Bolt EAV ». Parce que je l'ai équipé pour des aventures au-delà de ce pour quoi il a été construit, je l'appelle mon véhicule d'aventure électrique. Mon frère m'a demandé si nous aimerions l'accompagner pour découvrir une ville minière abandonnée au Nouveau-Mexique, et j'ai décidé que ce serait un test intéressant. Peut-être plus important encore, si je m'enfonçais trop profondément, il y aurait quelqu'un avec 4 roues motrices pour m'aider à m'en sortir.

Heureusement, je n'ai pas eu besoin de ce genre d'aide, et lorsque je suis arrivé à destination, j'ai découvert un morceau extrêmement cool de l'histoire des technologies propres, qui, je pense, est considéré comme le grand-père du Tesla Powerwall !

L’une des difficultés liées au fait de s’éloigner du trottoir est à quel point les choses peuvent devenir imprévisibles. Les routes pavées, que ce soit au niveau de l'autoroute, de l'État ou du comté, sont faciles à utiliser, car elles sont durables et entretenues. Parfois, un événement météorologique fou peut détruire une route pavée, mais c'est presque toujours quelque chose dont on n'entend parler que dans les médias locaux. Les chemins de terre les plus proches du trottoir sont également assez prévisibles et font l’objet d’un entretien régulier. Les plus établis ont du gravier, et les moins chers se font au moins traîner une lame dessus de temps en temps.

Mais si vous allez un peu plus loin, vous ne pouvez pas vraiment savoir à l'avance ce que vous allez rencontrer, même si vous y êtes allé. Les routes de comté plus éloignées, les routes de ranch et les routes du US Forest Service peuvent aller d'une très belle route de gravier à quelque chose que vous avez besoin d'une Jeep ou d'un Bronco pour traverser. Vous pouvez parfois trouver des descriptions de route ou des vidéos de l'itinéraire, mais souvent ce n'est pas possible. Même Google Earth n'est pas utile, car un beau chemin de terre et un autre en mauvais état ressemblent tous deux à des lignes de bronzage entre la verdure et les affleurements rocheux. Même si vous connaissez l’endroit, une bonne tempête peut radicalement transformer la route en quelques minutes.

Dans ce cas, la route a parcouru toute cette séquence et m'a poussé à faire des choses pour lesquelles je n'aurais probablement pas pris l'EAV si je l'avais su à l'avance. En quittant le trottoir, il y avait des maisons et des petits ranchs le long d'une route bien entretenue. Nous avons croisé un garde-bœufs et les choses sont devenues un peu plus difficiles, mais elles sont restées très gérables. Je devrais éviter les rochers occasionnels, mais c'était tout. Quelques gardes de bétail plus tard, et nous sommes entrés dans les terres du Service Forestier, hors d'entretien régulier. Des signes avertissaient d’une cicatrice de brûlure passée et de conditions imprévisibles.

Les choses sont alors devenues beaucoup plus difficiles. La majeure partie de la route était facile, mais il y avait de petites zones sur les pentes qui m'obligeaient à y aller lentement et à choisir une ligne avec soin. Ensuite, les ornières et les trous se sont creusés. Les matériaux meubles, qui sont normalement de la boue à cette période de l'année, faisaient glisser les pneus avant ici et là, mais les pneus Michelin Defender LTX améliorés s'agrippaient toujours et laissaient le Bolt se relever.

Vers la fin de la route, là où les motos tout-terrain, les côte à côte et les vrais véhicules tout-terrain n'osent généralement que, je me suis heurté à des choses difficiles. Quelques pierres ont gratté le dessous de la batterie (ce qui n'est pas inquiétant, car les batteries de véhicules électriques modernes sont généralement construites à partir de matériaux résistants pour éviter les incendies), et j'ai dû être beaucoup plus exigeant en matière de lignes, en prenant très lentement les segments difficiles. , mais en se précipitant sur les autres pour maintenir l'élan.

Presque jusqu’au bout de la route, je suis tombé sur la pente la plus difficile du voyage. Je n'ai pas réussi à atteindre le sommet, avec deux des pneus glissant dans des ornières sur une ligne à gauche. C'est une erreur que je ne ferais normalement pas, mais j'ai été distrait par un chien puis un enfant qui vomissait en succession rapide (mal des transports). Heureusement, j'avais une housse de siège et nous avons pu la plier rapidement, la mettre dans un sac poubelle et repartir. Au deuxième essai, j'ai choisi une ligne légèrement plus intelligente en s'approchant des rochers par la droite, puis en traversant vers la gauche, et avec un peu de glissement et d'adhérence, le Bolt s'est relevé et a dépassé le sommet.

De là, il y avait quelques centaines de mètres de route plus lisse, une traversée facile d'un ruisseau, puis la déviation vers la mine, que j'ai manquée parce qu'elle était envahie par l'herbe. Nous avons parcouru environ 50 mètres de montée semi-difficile après la sortie avant de réaliser l'erreur, ce qui signifiait que je devais soit reculer cette montée, soit exécuter un virage de 10 points.